L'Organisation mondiale de la santé nous apprend que dans le sud de la France plusieurs personnes sont infectées par le chikungunya sans même avoir voyagé. 13 cas seraient recensés. Ces personnes sont agées de 3 à 77 ans, habitent la commune de Cannet-des-Maures dans un même quartier. Pour éviter ce type de contamination il convient de : Éviter tous dépôts d'eaux stagnantes : tant les eaux usées de canalisations que celles des gouttières bouchées, des arrosoirs, brouettes, jeux d'enfants, bâches, poubelles, dessous de pots de fleurs, etc.). Il convient de renouveler au moins une fois par semaine l'eau des vases et des dessous des pots de fleurs car la plus petite retenue d'eau stagnante suffira aux moustiques tigres pour installer ses larves ; Dès le printemps, utiliser des "larvicides biologiques" dans tous les récipients d'eau que vous ne pouvez pas vider ; Utiliser des répulsifs fabriqués à partir de pyrèthres bios ; Utiliser des machines-pièges qui simulent l'odeur de la peau et de la respiration, pour attirer les moustiques; Couvrir les grandes étendues d'eau (bassin, mare...) ; Utiliser des lotions répulsives spéciales pour la peau, disponibles en boutiques biologiques (vérifier, quand même, la notice pour vérifier s’il n’y a pas d’interdiction pour les femmes enceintes ou/et les enfants) ; Porter plutôt des vêtements longs, amples et de couleur clair (les moustiques sont attirés par les couleurs sombres). Le choix des vêtements est important car environ 40% des piqûres passent à travers des vêtements; Utiliser des moustiquaires imprégnées surtout pour les bébés.

Le moustique tigre s’installe un peu partout

en France et risque de répandre le

chikungunya

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Bonjour, J'ai créé ce blog afin de débattre sur tous les problèmes de notre environnement. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils sont nombreux, à commencer par notre alimentation. Bien sûr du point de vue bactériologique il y a de nombreux progrès ; mais c'est au détriment de la qualité nutritionnelle qui devrait permettre d'avoir une santé de fer, ce qui est loin d'être le cas. J'en veux pour preuve que nous avons à l'heure actuelle, 1 "chance" sur 2 de développer un cancer dans sa vie. Alors il est temps de réagir, mais pour le faire encore faut-il être informé par d'autre canaux que les canaux publicitaires (peu objectifs et pour cause) ou par les "satellites" de la pharmacie, de l'agro- alimentaire et de la pétrochimie. Jean-Paul Beauquai
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La progression du moutique tigre en vidéo :